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Un mec se présente dans un restaurant et propose le deal suivant au patron:
 
- Écoutez, moi j'ai pas d'argent, mais je vous propose un pari: 
vous me présentez une assiette propre, et je vous devine ce qu'il y avait 
dedans avant de la laver. 
Si je devine, vous m'offrez un repas. Intrigué, le restaurateur accepte. 
Il pose devant le mec une assiette propre. Le mec: 
- Mmmmh, ça c'était du civet de lièvre au champignons. 
Et effectivement, ça c'était ce que l'assiette avait contenu! 
La scène se répète 1, 2, 3 jours. 
Au bout d'une semaine, le restaurateur commence à en avoir marre de devoir 
donner à manger gratuitement au mec. 
Dès qu'il le voit arriver, il va dans l'arrière du restaurant, et demande à la 
serveuse: 
- Ginette, vite, baisse ta culotte! 
- Mais enfin, patron!? 
- C'est pour faire une blague Ginette, baisse ta culotte et frotte toi la 
chatte contre cette assiette, vite! Après tu la laves et tu me la donnes. 
Le patron retourne chez le mec assis a sa table et lui donne l'assiette. 
Le mec renifle une, deux fois l'assiette, interloqué, et après il demande; 
- Mais la Ginette, elle travaille ici?


et la variante: 

C'est un gars qui est au restaurant et qui voit sur la carte un 
"Poulet de Bresse". 
Lorsque le garçon vient prendre la commande, il lui dit que c'est ça 
qu'il veut. 
Un peu plus tard, on lui amène un poulet entier rôti. 
Alors le gars introduit son index dans le fondement du poulet, goûte son 
doigt et dit: 
- Ah non! Ce n'est pas un poulet de Bresse. C'est un poulet des Landes. 
Apportez-moi un vrai poulet de Bresse je vous prie. 
Un peu plus tard, le garçon lui amène un autre poulet rôti. 
Le client recommence la même manipulation, se léche l'index et dit: 
- Ce n'est toujours pas un poulet de Bresse. celui-ci vient de la Sarthe. 
De Loué pour être plus précis. 
Repartez en cuisine et cette fois-ci 
amenez-moi un vrai poulet de Bresse. 
Alors encore un peu plus tard, un nouveau poulet rôti est présenté au client. 
Celui-ci reprend son petit manège. Et cette fois-ci, un sourire éclaire son visage: 
- Ah enfin! Un vrai poulet de Bresse! 
Alors le serveur se retourne, baisse son pantalon et lui dit: 
- Vous ne pouriez pas faire quelque chose pour moi, 
j'ai été élevé à l'assistance publique? 


Ce qui suit est un échange au tribunal entre l'avocat de la défense et un 
fermier demandant un dédommagement pour blessures corporelles. 
L'avocat: "Sur le lieu de l'accident, avez-vous dit au policier que vous ne 
vous étiez jamais senti aussi bien de toute votre vie ?" 
Le fermier: "C'est exact". 
L'avocat: "Alors, comment se fait-il que vous demandiez un 
dédommagement sous le pretexte que vous avez été sérieusement 
blessé quand le véhicule de mon client a heurté votre van ?" 
Le fermier: "Quand le policier est arrivé, il s'est dirigé vers mon cheval, 
qui avait une jambe cassée, et lui a tiré une balle dans la tête. 
Après il s'est dirigé vers Médor, mon chien, qui était à moitié écrabouillé, 
et lui a tiré une balle dans la tête. 
Quand il m'a demandé comment je me sentais, 
j'ai pensé que compte tenu des circonstances, il était judicieux de dire 
que je ne m'étais jamais senti aussi bien de toute ma vie ..." 
 

Des résolutions pour la nouvelle année: 
Lorsqu'on commence une nouvelle année, 
il est d'usage de décréter de nouvelles résolutions, 
supposées être de bonnes résolutions; 
Voici ce que peuvent donner un de ces cocktails de bonnes résolutions, 
avec plusieurs années de recul... 
Résolution #1
1994: Je vais essayer d'être un meilleur mari pour Nathalie
1995: Je ne quitterai pas Nathalie
1996: Je vais essayer de me réconcilier aves Nathalie
1997: Je vais essayer d'être un meilleur mari pour Nicole

Résolution #2
1994: Je ne regarderai plus les autres femmes
1995: Je ne poursuivrai pas ma relation avec Nicole
1996: Je ne laisserai pas Nicole me forcer à l'épouser
1997: Je ne regarderai plus les autres femmes

Résolution #3
1994: Je ne laisserai pas mon patron me pousser à bout
1995: Je ne laisserai pas mon sadique de patron me pousser au suicide
1996: Je me battrai pour obtenir mes indemnités de licenciement quans
mon patron me virera.
1997: Je dirai au Dr Silberstein et à tout le groupe ce que mon patron
me faisait endurer.

Résolution #4
1994: Je ne m'énerverai pas quand Bernard et Roger me charieront sur ma
calvitie.
1995: Je ne me mettrai pas en colère quand Bernard et Roger me
charieront sur ma calvitie.
1996: Je ne perdrai pas mon sang froid quand ils diront à tout le monde
que je porte une moumoute.
1997: Je ne parlerai plus ni à Roger ni à Bernard.

Résolution #5
1994: Je lirai au moins 20 bons livres par an.
1995: Je lirai au moins 10 livres par an.
1996: Je lirai 5 livres par an.
1997: Je finirai le dernier Rica Zaraï.

Résolution #6
1994: Je vais maigrir jusqu'à 90 kg.
1995: Je vais me surveiller pour ne pas dépasser 95 kg.
1996: Je suivrai ce nouveau régime à la lettre.
1997: Je vais essayer d'adopter une attitude raisonnable sur mon poids
afin de ne pas dépasser 100 kg.

Résolution #7
1994: Je ne dépenserai plus mon argent dans des conneries.
1995: Je rembourserai mon emprunt bancaire rapidement.
1996: Je rembourserai mes emprunts bancaires rapidement.
1997: Je ferai un effort pour ne plus être endetté en 2005.

Résolution #8
1994: J'irai chez le dentiste cette année.
1995: Je ferai soigner cette carie cette année.
1996: Je ferai dévitaliser cette dent cette année.
1997: Je ferai ce qu'il faut pour ne plus avoir une halein de coyote à
couse de mes chicots cette année.

Résolution #9
1994: J'irai à l'église chaque dimanche.
1995: J'irai à l'église aussi souvent que possible.
1996: Je prendrai un peu de temps pour prier et méditer chaque jour.
1997: J'essaierai de retrouver les paroles du "Notre Père".

Résolution #10
1994: Je serai plus positif.
1995: Je serai moins pessimiste.
1996: Je serai moins auto-destructeur.
1997: Je ne penserai plus au suicide.
 
Recette du Gâteau d'Amour 
Ingrédients: 
- 1 lit chaud 
- 2 corps différents (préalablement lavés) 
- 500 grammes de caresses (ou plus) 
- 50 grammes de baisers (ou plus) 
- 1 banane pas trop mure 
- 2 kiwis 
- 2 pamplemousses (grosseurs à volonté) 
- 1 four préchauffé à feu doux 
Temps: 
15 minutes selon la préparation 
Préparation : 
- Introduire les 2 corps dans un lit chaud avec 50 gr. ou plus de baisers 
- Enduire la surface des corps avec 500 gr. de caresses 
(en ajouter si pas assez sucré) 
- Couvrir ces mêmes corps, en particulier la banane, jusqu'à saturation. 
Ne pas faire de blancs en neige. 
- Agiter, avec ménagement, les 2 pamplemousses, les faire dorer 
très légèrement sans les faire rougir. 
- Mettre la banane, préalablement chauffée, du bout des doigts 
dans le four à température ambiante (370). 
Laisser les 2 kiwis non pelés à l'extérieur. 
- Manoeuvrer la banane très délicatement en va et vient. 
La sortir de temps à autre et la retourner, afin de contrôler la cuisson : 
ceci pour ne pas qu'elle perde son jus. 
La vitesse varie selon la marque du four 
- Extraire le jus de la banane qui, lui, doit rester dans le four. 
- Retirer celle-ci avec légèreté. 
- Pour achever le gâteau, laisser macérer dans les mains ou essuyer 
le surplus avec la langue, ceci étant laissé au choix de la cuisinière. 
- Laisser refroidir, démouler 9 mois après. 
Ne pas omettre de répéter fréquemment la recette, afin d'en savourer 
chaque fois davantage le goût. 
 

Un jeune cow-boy entre dans un saloon (imaginez John Wayne). 
Il dégaine et lance : 
"Le premier qui m'emmerde, je lui fout une balle entre les deux yeux". 
Un vieux cow-boy, qui en a vu beaucoup d'autres, lui dit très calmement : 
"Lime ta mire...". 
Le jeune ne comprend pas, sort du saloon mais revient le lendemain, 
le surlendemain, tous les jours de la semaine qui suit et, à chaque fois, lance : 
"Le premier qui m'emmerde, je lui fout une balle entre les deux yeux". 
Le vieux cow-boy, toujours aussi calme, lui dit toujours : 
"Lime ta mire...". 
Au bout de 10 jours, le jeune cow-boy demande au vieux cow-boy : 
"Pourquoi me dis-tu toujours "lime ta mire?" 
- Parce que, moi aussi j'ai été jeune. Moi aussi je suis entré dans un saloon, 
comme toi, et moi aussi j'ai dit des conneries comme les tiennes. 
Et puis un jour, un groupe de vieux cow-boys m'a sauté dessus, 
ils m'ont pris mon flingue et me l'ont enfoncé dans le cul... 
Alors, un bon conseil : lime ta mire !". 
 

Dans le grand ouest américain, un soir après une journée de convoyage 
d'un troupeau de 5000 bovins, trois cow-boys sont assis autour du feu 
de camp. 
Ce sont tous les trois de rudes gars qui n'ont jamais eu peur de rien, 
sur qui la douleur n'a jamais eu aucune prise. 
Après un bon café, ils se mettent à discuter... 
Le premier dit: 
- L'autre jour, un taureau s'était échappé de l'enclos. 
L'animal était en furie. 
Il a réussi à blesser 5 gars salement en les écornant et en les piétinant. 
Lorsque je suis arrivé, je l'ai ratrappé à cheval, puis je lui ai sauté 
dessus en l'agrippant par ses cornes. 
Ensuite, ça a été un jeu d'enfant de le mettre par terre en lui tordant le cou! 
Le second renchérit: 
- Ouais, pas mal, mais on a tous déjà fait ça. 
Moi, l'autre jour, alors que j'étais en vacances chez mon beauf en Floride et 
qu'on était en barque, l'embarcation s'est retournée. 
Rapidement, un alligator d'au moins trois mètres s'est rué sur moi. 
La bataille a bien duré 5 minutes sous l'eau, mais 
finalement j'ai réussi à lui faire la peau en lui déboitant la machoire! 
Le troisième cow-boy resta silencieux, 
alors qu'il remuait les braises avec sa bite. 
 

Ça ce passe pendant les années 30 aux US. 
Un type à qui tout sourit. 
Il a un bon boulot dans un entrepôt sur les quais de Chicago, 
une nana magnifique, un super appartement avec vue sur la ville. 
Bref, le bonheur. 
Tout bascule le jour où la mafia fait une razzia sur son lieu de
travail alors que sa fiancée l'attendait à la sortie de son boulot: 
De grosses limousines chargées de truands armés jusqu'au slip, 
tirant sur tout ce qui bouge même quand ça bouge pas. Un massacre. 
L'entrepôt est tellement brûlé qu'il n'en reste plus qu'une plaque 
métallique en fusion; le patron crucifié; et pour couronner le tout. 
Le chef des mafiosi viole la fiancée du mec avec une ponceuse 
auto lustrante, si bien que la belle en tombe éperdument amoureuse. 
En gros l'hécatombe. 
Le gars rentre chez lui avec un petit sentiment d'amertume. 
Sans boulot,seul dans son appartement sordide. 
Il décide de se suicider, mais il n'a plus un rond pour le gaz, 
le prix du chanvre à augmenté, le Valium n'a pas été inventé et 
Ophélie Winter ne chante pas encore. 
C'est Al Capone qui a fait son malheur, c'est lui qui se chargera 
de sa mort décide-t-il. 
Il se rend donc dans le restaurant préféré du truand. 
C'est une boîte avec danseuses emplumées et jet de culottes au final. 
Le roi du crime est attablé avec ses gorilles et sa gonzesse 
devant un magnum de champagne dont l'étiquette pour le 
prix est plus large que celle pour la marque. 
Le gars s'impose, il s'approche de Capone et 
pour le provoquer fait tomber son chapeau. 
Pas un porte-flingue ne bouge. 
Capone se baisse pour ramasser son galurin lorsque une rafale 
de mitraillette balaye tout l'établissement. 
Même le chien sur les marques de Whisky agonisent. 
C'est une telle boucherie qu'on se croirait à un concert de NTM. 
Capone se relève, regarde atterré autour de lui, 
aperçoit le gars paumé au milieu du charnier, 
qui vient de lui sauver la vie. 
Il le prend dans ses bras. 
"Mon ami" dit-il, "entre nous c'est pour la vie". 
Il relève la table, rafistole sa gonzesse sur une chaise, 
ramasse la bouteille champagne intacte et fait asseoir 
son sauveur à coté de lui. 
Capone verse deux grandes flûtes de champagne et s'apprête à 
porter un toast pour son nouvel ami.
Le gars lui balance alors un coup d'épaule à décorner un boeuf, 
espérant provoquer le mafioso. 
La chaise de Capone bascule, le verre de champagne tombe sur 
ses pompes en grésillant, produisant une drôle de fumée. 
C'était de l'acide. Capone se relève. 
"Mon sauveur" dit-il en prenant une nouvelle 
fois notre bonhomme dans ses bras. 
"Deux fois de suite tu me sauves la vie, à part ma femme, 
tu peux tout me demander". 
Le gars sans se démonter plus enclin que jamais à provoquer 
la colère du truand chope la nénette et la fourre de force sur ses genoux. 
Il la tripote ouvertement. 
À ce moment la nana lui dit à l'oreille: 
"Si tu trouves des couilles entre mes jambes, tais-toi, je suis EliottNess"............ 
 

C'est un astronome qui fait des conférences dans les grandes villes 
possédant un observatoire. 
Toutes les nuits, il fait les mêmes observations, 
raconte les mêmes anecdotes, répond aux mêmes questions... 
Il en a un peu marre, et en parle à son chauffeur alors qu'ils 
se rendent à la ville suivante. 
Le chauffeur lui répond que, de son côté, lui aussi en a un peu 
assez de conduire. 
Alors l'astrophysicien lui dit: 
- Écoutez Roger (le chauffeur s'appelle Roger), 
depuis le temps que vous m'écoutez faire mes conférences, 
vous connaissez le topo par coeur: 
Je vous propose que l'on échange les rôles demain; 
vous ferez la conférence, et moi je conduirai la voiture. 
Comme personne ne me connaît dans la prochaine ville, tout se passera bien. 
Le chauffeur qui est un passionné d'astronomie est d'accord. 
Le soir venu, le chauffeur remplace l'astronome au pied levé. 
Il décrit brillamment les constellations et reçoit un tonnerre d'applaudissement 
à la fin de son exposé. Vient ensuite la traditionnelle séance de questions. 
Une main se lève: 
- Qui a découvert Uranus? 
- C'est William Herschel, répond le chauffeur 
Une autre main et une autre question: 
- Et qui a découvert Pluton? 
- Quelqu'un qui s'appelait Clyde Tombaugh, répond le chauffeur qui savait ça 
aussi. 
Enfin, du fond de la salle, une question est posée: 
- Pourriez-vous nous dire les avantages et les inconvénients entre 
le modèle d'instabilité par accroissement du disque et celui par pulsation, 
pour ce qui concerne l'explication des explosions des étoiles à cataclysme 
variable? 
À ce moment, le conférencier marque une pause, respire un grand coup, 
puis soupire bruyamment et dit enfin: 
- Je suis surpris que vous me posiez une question d'une telle simplicité. 
Pour vous montrer comment tout cela est vraiment trivial, 
je vais laisser mon chauffeur y répondre à ma place. 
 
C'est un jeune cadre dynamique qui s'apprête à quitter son bureau 
vers les 20 heures, lorsqu'il croise le directeur général de sa boite 
en face du broyeur de documents, une feuille de papier à la main... 
- Ah jeune homme! Vous allez pouvoir m'aider avant de partir: 
Ceci (en montrant son papier) est très important et ma secrétaire 
vient de partir; sauriez-vous faire fonctionner cette machine? 
Le jeunot répond: 
- Certainement Monsieur. 
Et il branche la prise, insère le papier dans la fente et celui-ci est 
aussitôt broyé 
- Excellent! dit le Directeur Général alors que son papier disparaît. 
Une copie suffira. 
 

Deux prisonniers se racontent leurs crimes:
numéro 1: 
- J'ai fait un braquage de banque; J'en ai pris pour 20 ans 
numéro 2: 
- Et moi, j'ai tué toute une famille. Je ne reste que trois jours... 
numéro 1: 
- QUOI??? 20 ans pour mon braquage, et toi tu ne prends que trois jours 
pour avoir tué une famille?!!! 
numéro 2: 
- Hé ouais... 
...ils me pendent jeudi à l'aube. 
 

Je crois que c'est Roland Magdane qui disait: 
La différence entre les maillots de bains de jadis et ceux de maintenant, 
c'est que ceux de jadis il fallait écarter le maillot pour voir les fesses 
... alors que maintenant, il faut écarter les fesses pour voir le maillot. 
 

LETTRES REÇUES PAR UN SUPÉRIEUR HIÉRARCHIQUE 
  Courrier N¡1
  _____________
               Monsieur,

        Durant ma collaboration  avec M. Colas, il m'a toujours semblé

travailler consciencieusement à son bureau sans perdre de temps et sans

 cancaner avec ses collègues de bureau. Très rarement, il

 perd son temps en choses inutiles. Si on lui donne un travail, il

 termine le travail qui lui est dévolu à temps. Il sera toujours

 absorbé par son travail officiel, et ne pourra jamais être trouvé

   en train de commérer à la cantine. Il n'a absolument aucune

  vanité, en dépit de toutes ses réalisations et de la très grande

 connaissance de son domaine d'activité. Je pense qu'on peut facilement

le mettre sur un piédestal, et nous ne devrions en aucun cas

faire sans lui. En fait, je pense réellement que M. Colas devrait être

 sur le tableau d'avancement, et un formulaire de demande devrait être

expédié le plus tôt possible.

             (Signé)
              Kurt Bleek
                        Chef de section


Courrier N¡2
_____________ 
COLAS ÉTAIT PRÉSENT QUAND J'AI ÉCRIT LE RAPPORT QUI 
VOUS A ÉTÉ POSTÉ AUJOURD'HUI. 
VEUILLEZ NE LIRE QUE LES LIGNES 1,3,5... 
DE CE RAPPORT POUR CONNAÎTRE MON RÉEL SENTIMENT 
SUR M. COLAS

     RESPECTUEUSEMENT,
            (Signé)
             Kurt Bleek
                       Chef de section
 

C'est un gars qui vend des bibles en porte-à-porte depuis quelques 
années déjà, et il en a marre : il décide de se mettre à son compte. 
Il passe donc une annonce pour recruter des jeunes vendeurs qui 
vendront les bibles à sa place. Trois candidats se présentent : 
Le premier lui dit : 
- Je VEUX vendre des bibles pour VOUS ! 
- C'est d'accord mon gars mon gars, tu es embauché : 
Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles ! 
Le second arrive et dit : 
- Je VEUX vendre des bibles pour VOUS ! 
- C'est d'accord mon gars mon gars, tu es embauché : 
Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles ! 
Le troisième entre et dit : 
- Je v-v-v-v-eux ven-ven-ven-dre d-d-d-des bi-bi-bi-bi-bibles p-p-p-pour 
v-v-v-vous. 
- Non mon gars. Je ne peux pas te prendre. 
Jamais tu n'arriveras à me vendre une bible. Laisse tomber ! 
- M-m-m-mais j'ai vr-vr-vrai-vrai-vraiment be-be-be-besoin 
de-de-de ce tr-tr-tr-tra-tra-travail ! 
Comme il n'y a plus de postulant pour le poste, 
le nouveau patron accepte de prendre le bègue à l'essai : 
- Tiens, voilà un carton de bibles, prend le et va me vendre 
toutes les bibles que tu peux. 
À la fin de la journée, les vendeurs rentrent à la base ... 
Le premier dit : 
- J'ai vendu 8 bibles aujourd'hui 
Le second dit : 
- J'ai vendu 11 bibles 
Le bègue dit : 
- Auj-auj-auj-j-j-jourd'hui j-j-j-j'ai ven-ven-ven-vendu 
vingt-vingt-vingt-huit bi-bi-bi-bibles. 
Le patron répond : 
- SUPER les gars. Mais demain, j'attend de vous que vous 
me vendiez beaucoup plus de bibles que ça. 
Aujourd'hui c'était l'entraÓnement, demain, c'est la compétition ! 
À la fin de la deuxième journée, le premier vendeur est au rapport : 
- J'ai vendu 32 bibles ! 
Le second dit : 
- J'ai vendu 44 bibles ! 
Le bègue arrive et dit : 
- Auj-auj-auj-j-jour-jour-jour-jourd'hui j-j-j-j'ai ven-ven-ven-vendu 
soi-soi-soi-xan-xante-dix-dix-dix-neuf 
bi-bi-bi-bibles. 
Le boss répond directement au bègue: 
- Fantastique ! je me demande vraiment comment vous parvenez à 
vendre quasiment deux fois plus que les deux autres vendeurs ! 
Je serai curieux de connaître votre technique de vente... 
Alors le bègue répond : 
- Je-je-je-je les-les-les ab-ab-aborde sim-sim-sim-ple-ple-plement 
et j-j-j-je leur d-d-d-deman-demande 
s-s-s-s-si ils v-v-v-veulent qu-qu-que j-j-j-j-je l-l-l-leur v-v-v-v-v-vend-d-d-de 
une b-bi-bi-bi-bibl-bl-bl-bible ou s-s-s-si ils 
v-v-v-v-veul-l-l-veulent qu-qu-qu-que j-j-j-je l-l-leur LISE un 
pa-pa-pa-pa-ssa-ssa-ssa-ge ? 
*** 
Le m-m-m-même g-g-g-gars se met à vendre des b-b-b-b-brosses 
à d-d-dents... 
Le bègue: 
- J-j-j-j-je v-v-v-voud-d-d-drais v-v-vend-d-d-dre d-d-des br-brosses 
à dents p-p-pour v-v-vous! 
Le boss: 
- Ah ça , pas question mon gars, tu as un sérieux problème 
d'élocution tu sais... 
Le bègue: 
- Allez p-p-p-patron l-l-l-laiss-ssez moi ess-ss-ssayer... 
Le patron: 
- Ok essaie si tu veux. Voilà le matériel. 
Le lendemain 
- J-j-j-j'ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton! D-d-d-donnez moi 
d-d-d-dix c-c-c-cartons! 
Le surlendemain 
- J-j-j-j'ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton! D-d-d-donnez moi 
cinq-qu-qu-quante c-c-c-cartons! 
Le surlendemain 
- J-j-j-j'ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton! D-d-d-donnez moi 
cent c-c-c-cartons! 
Le boss: 
- Dis-moi un peu, quel est la raison de ton succès? 
Quelle est la méthode que tu emploies pour vendre autant de 
vrosses à dents? 
Le bègue: 
- C-c-c-c'est s-s-s-simple. J-j-j-j'installe m-m-m-mon m-m-mat-t-tériel 
au coin de d-d-d-deux rues t-t-très fr-fr-fréquentées... 
J-j-je met une p-p-p-pancarte 
"D-d-dégus-s-station d-de cr-cr-crevettes sauce p-p-piquante gr-gr-gratuite". 
J-j-j-je m-m-m-mets à la d-d-d-disposition du p-p-p-public un bol de sauce 
et d-d-des cr-cr-crevettes. 
Les gens pr-pr-prennent une cr-cr-crevette, la trempent d-d-dans la sauce 
et goutent... 
"Beuarh! Cette sauce a le goût de merde" qu-qu-qu'ils d-d-disent et 
j-j-j-je rép-p-p-pond: 
"C-c-c'en est. J-j-j-je v-v-vous v-v-vend une br-br-brosse à d-d-dents?" 
 

C'est un mari et sa femme qui passent une semaine au ski. 
Alors qu'ils sont dans le télécabine pour monter à 3000 mètres, 
la femme dit à l'oreille de son mari qu'elle a un besoin URGENT de 
faire pipi. 
Le mari lui répond de ne pas s'en faire : 
il y a toujours un chalet restaurant à l'arrivée des télécabines. 
Mais à l'arrivée, le chalet restaurant est fermé... 
et voilà la dame les jambes encore plus serrées. 
Voyant, au cours de la descente, que sa femme ne peut plus 
rien faire de bon, le mari lui suggère d'aller trouver le premier 
groupe de rochers, et de satisfaire ce besoin pressant. Il lui dit : 
- Vas-y n'aie pas peur, de toute façon, personne ne te repéreras 
avec ta tenue blanche! 
Alors la femme va s'installer, mais elle garde les skis chaussés, 
malheureusement pour elle! 
Car les skis se mettent à glisser et la voilà qui descend la pente, 
à reculons en plus, le cul à l'air et le pantalon de ski sur les genoux. 
Elle prend de la vitesse, et comme elle n'a aucun moyen de se diriger, 
elle continue tout droit, le cul en premier. 
Finalement, elle percute un pylône. 
Et manquant toujours de chance elle se casse un bras dans l'histoire et 
elle ne peut pas remonter son pantalon de ski. 
Ce n'est que quand son mari vient la rejoindre que sa nudité 
peut enfin être cachée des yeux du public. 
Ensuite, les sauveteurs viennent la chercher avec la motoneige 
et le brancard; 
elle est amenée en bas des pistes, puis transportée à l'hôpital. 
Sur place, on lui pose un plâtre sur le bras,
puis on la place dans la chambre d'un gars qui a la jambe dans le plâtre. 
Elle engage la conversation: 
- Comment vous êtes-vous cassé la jambe? 
Le gars lui répond: 
- C'est une histoire incroyable: 
J'étais sur un télésiège pour monter en haut des pistes lorsque j'ai vu 
une femme descendre une piste de ski, le postérieur tout nu à l'air, 
le pantalon de ski baissé sur les genoux, et en plus, à reculons! 
Pour mieux voir, je me suis penché mais je n'ai pas réalisé 
que j'étais bien trop penché en dehors du télésiège, et je suis tombé. 
D'où ma fracture du tibia... 
Et vous, comment vous êtes-vous cassé le bras? 
 

Un plombier qui a le pied dans le plâtre rencontre un ami 
alors qu'il se ballade en ville avec ses béquilles. 
L'ami lui demande: 
- Salut! Dis-donc, comment tu t'es fait ça? 
- Ah attend je vais te raconter, tu n'en reviendras pas! 
L'histoire commence avec un gars, jeune marié, qui avait promis 
à sa femme de réparer une fuite à un robinet un certain jour de la semaine. 
Malheureusement, ce jour là, il lui est impossible de quitter 
son bureau à cause d'une réunion exceptionnelle. 
C'est alors qu'il pense à faire appel à un plombier professionnel 
et du coup, il m'appelle pour faire le travail. 
Comme j'avais besoin de sa clef, je passe à son bureau pour l'obtenir, 
et ensuite, je me rends chez lui et je me mets au travail. 
Un peu plus tard, sa femme rentre du travail. 
En rentrant, elle voit mon arrière train qui dépasse du dessous de l'évier... 
Elle pense qu'il s'agit de son mari et elle commence à tirer mon pantalon et 
à s'occuper avec enthousiasme de mon intimité... 
À ce moment là, le téléphone sonne, et la femme se relève pour répondre. 
Lorsqu'elle revient, elle dit d'une voix agressive: 
"C'était mon mari au téléphone... QUI êtes vous?" 
Moi, à ce moment là, je suis tellement surpris et gêné que lorsque 
je veux lui répondre, je relève la tête trop vite et je m'assomme contre 
le rebord de l'évier. 
Pendant que je suis dans les pommes, la femme me dégage de là, 
remonte mon pantalon et appelle une ambulance. 
Quand les infirmiers m'emportent sur une civière, j'ai repris mes esprits, 
et ils me demandent ce qui s'est passé. 
Alors je leur raconte mon histoire, et ils se mettent tellement à rire qu'il 
me laissent tomber par terre! 
C'est comme ça que je me suis cassé la jambe... 

 
L'empereur Bokassa est en visite officielle en Grande-Bretagne. 
Sa majesté, la reine Elizabeth II le reçoit avec les honneurs dus à 
son rang. 
Notamment, elle le conduit à travers Londres dans un royal cabriolet tiré 
par 4 royaux chevaux blancs. 
Soudain, l'un des chevaux lâche un pet aussi odorant que retentissant. 
La reine, confuse, se tourne vers l'empereur et lui murmure : 
"Je suis désolée, vraiment... 
"Ne soyez pas désolée, majesté, lui répond Bokassa, 
moi je croyais que c'était le cheval..." 
 

Ce sont trois ouvriers travaillant dans le terrassement pour 
la construction d'un pipeline de pétrole en Alaska. 
Leur logement à chacun est un baraque en tôle personnelle car 
dans la région, c'est encore ce qu'il y a de plus pratique. 
Ils sont en train de faire la pause dans la baraque de chantier et 
se plaignent du froid qu'il fait dans leur baraque personnelle la nuit... 
Le premier dit: 
- Dans ma baraque, il fait si froid que quand je me verse un verre 
d'eau, l'eau gèle avant d'atteindre le verre. 
Le second dit: 
- Moi c'est pire: il m'arrive la même chose qu'à toi, 
mais c'est quand je me verse du café chaud dans une tasse! 
Alors le troisième dit: 
- Les gars, si vous voulez vraiment savoir ce que c'est qu'une baraque 
où il fait froid, venez donc dans la mienne... 
Les voilà donc qui rentrent dans la baraque du 3ème gars. 
Le gars leur montre alors une tâche sur la couverture de son lit. 
Puis il prend une paire de ciseaux et se met à découper cette tâche. 
Il dépose ensuite le morceau d'étoffe découpée près du radiateur et 
dit à ses potes de regarder et de faire silence... 
... 
Une minute plus tard, au moment ou l'étoffe se décongela, 
ils purent entendre un gros pet bien bruyant (suivi de son odeur bien sûr). 
 

Deux gars, dans une prison du Texas sont condamnés à morts. 
Ils vont passer à la chaise électrique le même jour. 
On les conduit dans la chambre d'exécution. 
Le prêtre leur donne les derniers sacrements, 
puis le directeur de la prison fait un dernier discours, 
et enfin le curé invite tout le monde à prier une dernière fois. 
Le directeur se tourne ensuite vers le premier qui sera exécuté et lui demande: 
- Quelle est votre dernière volonté? 
Le gars répond: 
- J'aime danser... Vous pourriez passer la Macarena à la sono pour 
que je danse une dernière fois? 
Le directeur: 
- Certainement, on peut faire ça pour vous. 
(et se tournant vers le deuxième condamné) 
Et vous, quelle est votre dernière volonté? 
Le gars: 
- S'il vous plaît, Tuez-moi en premier! 
 

Sur une route de montagne, se suivent 3 voitures : 
une Lada en tête, suivie d'une Ferrari, elle même suivie par une Porsche. 
Soudain, à la sortie d'un virage sans visibilité, un camion ! 
La Lada se plante dans le camion, la Ferrari se plante dans la Lada, 
et la Porsche se plante dans la Ferrari. 
Les trois voitures sont bousillées. 
Le chauffeur de la Porsche sort de sa voiture en pleurant: 
"Ouin, 15 jours de salaire !!". 
Celui de la Ferrari, en pleurant aussi: 
"Ouin, 2 mois de salaire !!!", 
et enfin, en pleurant aussi, le chauffeur de la Lada: 
"Ouin, 3 ans de salaire !!!". 
À quoi les deux autres répondent immédiatement par: 
"Nom de Dieu! Toute une vie?! Vous avez les moyens vous!...!?" 
 

Dans un bar à Aubagne, Tony et Doumé discutent devant leur 
quatorzième pastis... 
- Alors Tony, qu'est-ce que t'as fait ce dimanche? 
- Je suis allé pêcher ... 
- Ah, ouais, et ça à mordu ? 
- Putain ouais, et pas qu'un peu. J'ai pris une sardine... comme ça !! 
(Là Tony, il écarte les bras au max pour montrer la taille de la sardine.) 
Et encore, j'ai pas les bras assez longs... 
- Tony, tu pars en couilles ou quoi, là ! 
Ça existe pas des sardines comme ça. 
Tu me prends pour un con, tu me respectes pas, là !!! 
- Et ouais je te le dis, elle était comme ça putain ! 
Tu le sais que je mens jamais aux collègues !! 
Jusqu'au dix-huitième pastaga, un silence de mort s'instaure 
entre les deux hommes. Puis Tony prend sur lui et relance la discussion : 
- Et toi Doumé, qu'est-ce que t'as branlé ce week-end ?? 
Léger blanc, puis Doumé condescend à répondre. 
- J'ai chassé, à la Treille. 
- Ah ouais et qu'est-ce que t'as pris ? 
- Rien putain, ça a pas marché, y avait que dalle dans la colline ! 
- Arrête-toi Doumé, un flingueur comme toi, t'aurais rien chopé ??!! 
Tu me prends pour un con ou quoi !! 
- Non, je te dis qu'il y avait rien à tirer !!! 
- Doumé, tu me ballades là ou quoi! Un chasseur comme toi, un expert...! 
J'te crois pas!!!!!" 
Là, Doumé baisse le ton et confie à Tony : 
- Bon Tony, OK, il m'est arrivé un truc incroyable. 
Je te raconte, mais y faut que t'en parles à personne. 
Tu entends!! Personne ne doit savoir ce que je vais te dire maintenant!!" 
Tony un peu impressionné, laisse choir doucement: 
- OK, Doumé, OK. Pas de problème, je moufterai rien. 
- Bon, OK, alors voilà: Samedi, j'étais dans la pinède avec mon 
Verney Caron depuis 10 minutes et j'entends un bruit dans les fourrés. 
Putain tu me connais comme je dégaine ! 
Ni une ni deux, j'épaule, je flingue. 
Tu le crois ou non, c'était la chèvre à Monsieur Jean de Gémenos. 
Putain, killée net, entre les deux yeux. 
Tu me connais, je rate rien... 
- Non ??!! Putain, tu lui as niqué sa chèvre à Monsieur Jean !!!! 
Et qu'est-ce que t'as fait alors !!! 
- Eh, qu'est-ce que tu voulais que je fasse? 
Je suis retourné à la GTI prendre la pelle militaire pliante et j'ai creusé. 
- Ah ouais ? Et après ? 
- Après ? Après, j'avais presque fini quand au bout du chemin tu sais 
ce que je vois ? 
- Putain, non, dis-moi !!!! 
- Monsieur Jean... 
- Non ???!!! 
- Et ouais, il arrivait doucement en marchant. 
- Putain et alors, qu'est-ce que t'as fait ??!! 
- Qu'est-ce que tu voulais faire. 
J'avais le fusil rechargé, j'y en mis 2, une dans chaque oeil... 
- Nooooooon !!! Arrête!! T'as étendu Monsieur Jean ??!! 
Tu déconnes complètement là??!! 
- Putain, mais qu'est-ce que tu voulais que je fasse, c'était lui ou moi.. 
- Et alors, après, qu'est-ce que tu as fait!!! 
- Après? Après, j'ai traîné Monsieur Jean jusqu'à sa chèvre et 
j'ai creusé un trou plus gros. 
- Putain !!... Et alors??!! 
- Alors ? Alors il me restait plus qu'un bras de Monsieur Jean à enterrer et 
devine qui je vois au bout du chemin ? 
- Putain je sais pas moi, dis-moi !!!!!! 
- Madame Jean qui arrivait tranquille... 
- NON !!!! Et alors, qu'est-ce que tu as fait??!! 
Tu as quand même pas tué madame Jean!!! Pas madame Jean !!! 
- Ah ben là j'ai pas le choix, Tony : 
SOIT TU RÉTRÉCIS TA PUTAIN DE SARDINE SOIT 
JE FAIS UN CARNAGE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!" 
 

C'est un gars qui veut un boulot de contrôleur ferroviaire. 
On lui demande de rencontrer un inspecteur pour passer des tests. 
L'inspecteur commence à lui poser des questions: 
- Que faites-vous si vous réalisez que deux trains allant en sens contraire 
utilisent la même voie? 
Le gars répond: 
- Dans ce cas je change un des trains de voie 
- Et si la commande électrique ne répond pas? 
- Alors je laisse tomber l'électronique pour aller actionner le levier 
manuel sur la voie elle-même 
- Et si le levier manuel a été frappé par la foudre? 
- Alors je retourne à mon poste d'aiguillage en courant pour prévenir 
par téléphone le poste d'aiguillage précédant de faire le nécessaire 
- Et si la ligne est occupée? 
- Alors je quitte le poste d'aiguillage et je courre vers 
le poste téléphonique d'urgence situé au passage à niveau 
- Et si ce poste a été détruit par des vandales? 
- Oh... Alors je vais en courant jusqu'au village prévenir mon oncle Roger! 
L'inspecteur est surpris de la réponse et demande: 
- Ah tiens?! Et pourquoi cela? 
- Parce qu'il n'a jamais vu d'accident ferroviaire. 
 

C'est un gars qui a un long cou, un très très long cou. 
Il ne trouve pas l'âme soeur. 
Or un jour, par le biais d'une agence il rencontre une nana 
qui a de très grandes oreilles, de très très grandes oreilles. 
Oh Bien sur, il ne la trouve pas très belle et elle ne le trouve pas très beau. 
Néanmoins il se retrouve face a face dans un restau très chic, très très chic. 
Et là il s'aperçoit qu'elle a une enoooorme culture. 
Et là elle s'aperçoit qu'il a un sens de l'humour inouiiiii. 
Alors ils finissent la soirée ensemble. 
Et là il s'aperçoit que c'est un coup d'enfeeeeer. 
Et là elle s'aperçoit que c'est un romantique de primieeeere. 
Alors au petit matin ils se lèvent et devant un super petit déj' 
ils se regardent tendrement. 
Elle lui dit :" J'ai passé la plus belle nuit de mon existence, 
Merci beaucoup !" 
Et lui répond :" Oh ça va , t'as pas vu tes oreilles !!". 
 

Un homme entre chez le coiffeur avec un petit garçon. 
Il se fait couper les cheveux puis dit au coiffeur : 
coupez les cheveux du petit, je vais faire une course. 
Une heure passe l'homme ne revient pas. 
Le coiffeur dit au petit garçon : Il revient pas ton papa ? 
- C'est pas mon papa, c'est un monsieur qui m'a pris par la main dans la rue. 
Et il m'a dit viens gamin on va se faire couper les cheveux à l'oeil!! 
 

On demande à un multimilliardaire comment il a fait pour en arriver là. 
Facile, j'ai toujours respecté à la lettre deux principes absolus. 
Le premier de ces deux principes est de ne jamais révéler tout ce que je sais. 
Le secret de la fortune, explique un multimillionnaire, tient en un seul mot: 
Patience! Avec de la patience, on peut tout faire. 
- Tout? Ricane un de ses auditeurs. 
- Absolument! 
- Vous pourriez, par exemple, transporter de l'eau dans une passeoire? 
- Certainement! ... En ayant la patience d'attendre qu'il gèle. 
 

Un repris de justice est convoqué comme témoin... 
Le juge: "Vous êtes en retard. 
Quand on est convoqué à 10H00, il faut arriver à 10H00 !" 
Le témoin: "Ben oui, mais je me suis perdu dans les couloirs 
du palais de justice, sinon, j'étais à l'heure." 
Le juge, ironique: "Pourtant, si je me souviens bien, 
je vous ai déjà vu en d'autres circonstances dans cette salle...." 
Le témoin: "Oui, oui, vous avez raison. 
Mais cette fois là, j'étais arrivé par l'entrée des artistes..." 
 

Deux amies d'enfance se retrouve après plusieurs années. 
La première dit : 
- Pour notre premier anniversaire de mariage, mon mari m'a offert 
un diamant ! 
La seconde répond : 
- C'est bien, c'est très très bien. 
La première dit: 
- Pour notre second anniversaire de mariage, mon mari m'a offert 
une voiture toute neuve ! 
La seconde répond : 
- C'est bien, c'est très très bien. 
La première dit: 
- Pour notre troisième anniversaire de mariage, 
mon mari m'a offert un superbe manteau de fourrure ! 
La seconde répond : 
- C'est bien, c'est très très bien. 
La première demande : 
- Et toi, qu'est-ce que ton mari t'a offert pour vos anniversaire de mariage ? 
La seconde répond : 
- Il m'a envoyé dans une école de Maintien où l'on apprends à dire: 
"C'est bien, c'est très très bien" au lieu de "va te faire foutre espèce de salope!" 
 

C'est Dédé (prononcer Deideu) et Tony de l'Estaque, 
ils ont gagné un voyage en paquebot jusqu'à New York. 
À la fin de la traversée le brouillard se lève sur Manhattan et 
ils voient la statue de Liberté. 
Dédé s'exclame : 
- Oh putain Tony, c'est la femme à qui, elle, elle est bien grande!!! 
Tony répond: 
- Putain, je sais pas moi, t'as qu'à demander!!! 
Dédé va voir un ricain sur le pont et lui demande: 
- Oh monsieur s'te plaît, ooohh, de qui c'est la femme, elle?! 
L'homme interloqué répond: 
- What??? et Dédé s'en va, satisfait, dire à Tony: 
- C'est la femme à Ouatt, putain, comme y doit être grand, ce mec!! 
Sur la terre ferme, les deux collègues vont à l'hôtel puis sortent 
pour aller au bistrot. 
Ils passent devant un Mac Do géant avec une enseigne monstrueuse 
en néon représentant un hamburger. 
Dédé s'arrête : 
- Oh putain Tony, c'est le sandwich à qui, ça, il est bien grand!!! 
Tony répond: 
- Putain, je sais pas moi, t'as qu'à demander!!!!!!" 
Dédé avise un mec et lui demande: 
- Oh monsieur, s'te plaît, oooh, de qui c'est le sandwich, là?! 
L'homme sur la défensive répond: 
- What??? Et Dédé revient vers Tony et lui dit: 
- Putain, j'aurais dû le savoir, eh, c'est le sandwich à Ouatt. 
Putain y doit vraiment être monstrueux ce mec!!!!!!! 
À leur retour du bar ils passent devant l'échoppe d'un cordonnier 
qui a tout investit dans son enseigne, une monstre-grosse chaussure en néon. 
Dédé lève les yeux et s'écrie: 
- Oh putain Tony, c'est le nébu à qui, ça, il est bien grand!!! 
Tony répond: 
- Putain, je sais pas moi, t'as qu'à demander!!!!!! 
Un mec est encore dans la rue à cette heure tardive et se fait aborder 
par Dédé qui lui demande: 
"Oh monsieur, s'te plaît, oooh, de qui c'est la chaussure, là?! 
Réponse de l'homme inquiet: 
- What??? Dédé se tape sur le front en expliquant à Tony: 
- Putain, c'est sûr, enculé de moi, c'est la chaussure à Ouatt. 
Y chausse du mille ce mec!!! 
Les estaquiens rentrent ensuite sans autre événement à leur hôtel et 
passent une bonne nuit. 
Le lendemain matin ils sortent se balader et en passant un coin de rue, 
ils tombent sur une procession énorme derrière un corbillard, 
plusieurs milliers de personnes au moins. Dédé s'affole : 
- Oh putain Tony, qui c'est qui le mort là, putain y a bien du monde!!! 
Tony répond: 
- Putain, je sais pas moi, t'as qu'à demander!!!!!! 
Dédé avise quelqu'un dans la foule et lui demande: 
- Oh monsieur, s'te plaît, oooh, qui c'est qui est mort là?!!!!". 
Réponse affolée: 
- What???" Et là, Dédé, il explose 
- Putain tu me prends pour qui, pédé que tu es, 
même pas une couille de Ouatt elle pourrait rentrer là-dedans!!!!!!!!!! 
 

Une jeune fille, qui vient de se présenter à l'examen du permis 
de conduire, rentre chez elle. Son père la questionne : 
- Alors, ça c'est bien passé ? 
- J'en sais rien. 
- Comment ça ! L'examinateur ne t'a rien dit ? 
- Mais non, rien ... On l'a transporté directement à l'hôpital! 
 

Ça se passe au bord la mer. 
C'est deux gars qui sont de vrais jumeaux. 
Il y a Robert et Raymond Kulasec (les fils de Jean, bien sûr). 
Robert s'est marié à Jeanine mais Raymond est resté célibataire. 
Le seul bien que possède Raymond en dehors de sa maison, 
c'est une vieille chaloupe... 
Un jour, la femme de Robert, Jeanine, meurt. 
Et le même jour, la chaloupe de Raymond coule! 
Une vieille dame de leurs connaissances rencontre Raymond le lendemain. 
Mais elle confond Raymond et Robert. Elle dit à Raymond: 
- Oh monsieur Kulasec... 
J'ai appris votre grande perte. ça doit être terrible pour vous!? 
Raymond lui répond: 
- Eh ben en fait oui. Je suis vraiment démuni maintenant. 
Enfin il faut quand même relativiser: 
Elle était pourrie dès le départ, elle avait l'arrière tout abîmé, 
elle sentait le poisson et jamais au grand jamais je n'ai connu une chose 
qui prenait l'eau aussi vite qu'elle. 
Il faut dire qu'elle avait une grosse fissure par devant et 
un grand trou à l'arrière. 
D'ailleurs, le trou devenait de plus en plus gros à chaque fois qu'on l'utilisait... 
En fait, ce qu'elle n'aura pas supporté, 
c'est que je la loue à quatre gars pour qu'ils prennent un peu de 
bon temps avec: 
Je leur avais pourtant dit d'y aller mollo, mais ces jeunes branleurs ont voulu 
monter à quatre en même temps. 
C'en était trop pour elle et elle a craqué en plein milieu. 
 

Le juge au prévenu : 
- Le 25 juillet dernier, vous avez tué votre femme avec un marteau ... 
Le reconnaissez-vous ? 
- Oui, je l'avoue et j'ai fait croire qu'elle était partie en vacances! 
Un homme dans la salle se lève et ne peut retenir ses cris: 
- Enfoiré, salaud, fils de ... ! 
- Silence ou je ... 
Le juge n'eut pas besoin de terminer sa phrase: l'homme s'est déjà calmé. 
Le juge reprend l'interrogatoire : 
- Le 9 septembre, vous avez tué votre belle-mère avec un marteau. 
Reconnaissez-vous les faits ? 
- Oui, je l'avoue ... avec un marteau. 
À ce moment-là, la même scène se reproduit, avec le même homme : 
- Enfoiré, salaud, fils de ... ! 
Le juge ordonne son expulsion mais, par pure curiosité, il lui demanda : 
- Puis-je savoir qui vous êtes pour vous exciter de la sorte? 
- Oui, Monsieur le juge ... 
Je suis son voisin de pallier et, chaque fois que 
j'ai demandé à cet enfoiré de salaud de fils de ... de me prêter un marteau, 
il a toujours prétendu ne pas en avoir! 
 

C'est un groupe de touristes qui visite les vestiges 
de la civilisation Maïa au Mexique. 
Alors que le groupe s'apprête à entrer dans un des temples, 
un des touristes veut faire le malin et demande au guide des détails sur 
leur lieu de visite. 
Le guide répond: 
- Les fouilles concernant le site ne sont pas terminées. 
Il arrive encore de trouver des poteries et des bijoux aux alentours du temple. 
Pour ce qui est de l'âge du temple dans lequel vous allez pénétrer, 
on sait de manière certaine qu'il a 2503 ans! 
Le touriste est impressionné par le savoir du guide et reste muet. 
Par contre, sa femme surenchérit tout de suite: 
- Mais dites-moi, comment pouvez-vous être si précis? 
- Oh, c'est simple. Il y a trois ans, lors de l'ouverture au public du temple, 
les archéologues ont dit qu'il était vieux de 2500 ans. 
 

Donc, c'est un voyageur de commerce qui passe toute la 
semaine sur la route. 
Il rentre chez lui tous les week-ends, 
et nous sommes justement un vendredi soir, tard, la nuit est bien avancée. 
Il est encore au volant et il lui reste pas mal de chemin à faire. 
Il se trouve dans un coin paumé, le dernier bled qu'il a traversé est déjà 
à une bonne vingtaine de kilomètres - le suivant n'est pas plus 
proche - lorsqu'une de ses roues crève. 
Comme c'est son boulot d'être sur la route et qu'il est organisé, 
il sait que sa roue de secours est OK, 
il se fait pas de soucis et se met en devoir de réparer ça. 
Il sort avec sa lampe électrique, chope la roue, 
puis s'aperçoit qu'il n'a pas son cric. 
Effectivement, le week-end précédent, il s'en est servi et ne l'a pas rangé. 
Il n'a d'autre alternative que s'armer de courage et de partir à pieds 
au dernier village qu'il a traversé, où, se souvient-il, se trouve un garagiste 
qui devrait pouvoir lui vendre un cric. 
C'est donc une longue marche qui l'attend. 
Comme on est en hiver, une pluie pénétrante commence à tomber et 
à le glacer jusqu'aux os. 
Il est dans le noir complet, sa lampe électrique ayant rendu l'âme 
quelques kilomètres après son départ. 
Il commence donc à ressasser de noirs pensées, et à se parler à lui même : 
- Est-ce qu'au moins cet abruti de garagiste va avoir un cric ? 
- Ouais, bien sûr, tous les garages ont des crics. 
Mais, le mec, il va te voir venir, ... dans ta situation, 
il va au moins t'en demander 500 balles ... 
Quelques kilomètres passent, et il continue a rouméguer 
(terme occitan dont la sonorité suffit à comprendre la signification) : 
- Tu parles, il peut même t'en demander 1000 balles, 
de toutes façons, t'as pas le choix. 
Exacerbée par l'absurdité de la situation, par les éléments qui 
se déchaînent contre lui, une sourde colère croît en lui au fil des kilomètres, 
et il continue son dialogue intérieur : 
- T'es complètement à sa merci, mec. 
Il peut même te le vendre 2000 balles, son cric, et toi, 
comme un con, t'auras qu'à la fermer et payer ... 
Il arrive enfin en vue du bled, et il aperçoit l'enseigne du garage. 
Il rassemble le peu de forces qui lui restent et force le pas, 
continuant à rouscailler: 
- Tu vas voir que ce connard est capable 
de t'en demander 3000, 4000 balles. 
Tu parles, c'est pas tous les jours qu'il trouvera un tel pigeon. 
Arrivé au portail du garage, il commence à tambouriner. 
Pas de réponse. 
Il s'active derechef pieds et poings contre le portail, 
une tête hagarde de sommeil se pointe alors à une fenêtre 
du premier étage. 
C'est alors que le voyageur de commerce, au comble de la fureur et 
avant que l'autre ait pu placer un mot, lui hurle : 
- ESPÈCE D'ENCULÉ, TU SAIS OU TU PEUX TE LE COLLER, TON CRIC, ... 
 

Un employé à son patron : 
- Monsieur, mon salaire n'est pas en rapport avec mes capacités ! 
- Oui, mais nous ne pouvons tout de même pas vous laisser mourir de faim ! 
 

Pourquoi les gars qui ont fait leurs études à l'E.P.I.T.A.* 
mettent leur diplôme sur leur tableau de bord de voiture? 
- Pour pouvoir se garer sur les places pour handicapés 
*J'ai mis EPITA parce qu'il y avait bien un an qu'il n'y avait pas eu 
de blague sur eux. 
Mais on aurait pu choisir une école de Rennes ou de Nancy. 
 

L'équipe de Rugby de Sup de Co Rennes rencontre l'école des 
Mines de Nancy. 
La rencontre a lieu à Nancy. Un des gars de Rennes se 
retrouve aux pissotières en même temps qu'un gars de Nancy. 
Il lui dit: 
- Vous êtes vraiment des porcs à Nancy. 
Chez nous au moins, il y a des lavabos en face des pissotières... 
Et le Nancéien lui répond: 
- Ouais, on est peut-etre des porcs, mais chez nous, 
on nous apprend à ne pas nous pisser sur les mains! 
 

(cette blague a été adaptée dans un court métrage de je sais plus qui. 
La gare citée dans la blague est effectivement celle citée 
dans ce court métrage, c'est à dire celle de Le Cateau Cambrésis 
dans le département du Nord, en France donc) 
Dans un train régional, un contrôleur aborde un voyageur 
pour lui demander son titre de transport. 
Le contrôleur lui dit en voyant son billet: 
- Vous descendez à Le Cateau? Vous vous êtes trompés de train! 
Depuis le mois dernier, ce train ne s'arrête plus à Le Cateau. 
Vous auriez du prendre celui de 7h45 et non pas celui de 7h15! 
Le gars affolé lui répond: 
- C'est pas possible! Je DOIS descendre à Le Cateau sinon 
je ne pourrai pas retrouver la femme que j'aime. 
Si je ne descend pas, elle croira que je ne l'aime pas et c'en sera fini 
de notre amour. Jamais plus je n'aurai l'occasion de la revoir. 
Le gars insiste tellement que le contrôleur, un sentimental, 
s'attendrit et finit par dire: 
- Bon d'accord. Je vais en parler au conducteur du train. 
Il ralentira suffisamment en arrivant dans la gare de Le Cateau pour 
que vous puissiez descendre en courant. 
Ça devrait aller, mais il faudra que vous courriez très vite dès que 
vous quitterez le marchepied du train car le train n'ira jamais moins 
vite que 30 km/h. 
Pour vous donner toutes vos chances, je vous tiendrai en l'air en 
vous tenant par dessous les bras avant de vous lâcher... 
Alors, lorsque le train arrive en vue de la gare de Le Cateau, 
le contrôleur ouvre la porte. 
Il prend le voyageur sous ses aisselles et 
lui demande de commencer à courir dans le vide... 
Et le voyageur court, de plus en plus vite alors que le train ralentit 
Finalement, le contrôleur descend le voyageur au niveau du quai 
de gare en lui criant de continuer à courir le long du train pendant 
quelques secondes sinon c'est la chute assurée. 
Ce que fait notre gars... 
Jusqu'à ce qu'un passager du train, debout 
à la porte du wagon suivant n'aperçoive cet homme en train de courir 
pour attraper son train et ne l'attrape par le col de sa veste 
pour le hisser dans le train en lui disant: 
- T'as de la chance que j'ai été là pour te faire monter: 
Ce train ne s'arrête même pas à Le Cateau Cambrésis! 
 

Au cours d'une discussion dans un bar, un gars lance à la cantonade: 
- Hé ben moi les gars, je connais tout le monde sur la planète 
personnellement et je suis prêt à tenir un pari pour 50 000 francs! 
Son voisin lui dit: 
- N'importe quoi. C'est rigoureusement impossible. 
Tiens par exemple, moi, est-ce que tu me connais? 
Le gars répond: 
- Oui bien sûr. Tu ne te souviens pas? 
On s'est rencontrés à la fête de l'huma, en 1974. 
Je m'appelle Robert Glandu, ça ne te dit plus rien? 
Le voisin répond: 
- D'accord, c'est vrai, je me souviens maintenant. 
Mais je n'arrive toujours pas à croire que tu puisses 
connaître rigoureusement tout le monde! 
Par exemple, est-ce que tu connais Lionel Jospin? 
Et Robert Glandu répond: 
- Ouais monsieur. Même que l'été, il m'arrive d'aller lui dire 
bonjour chez lui, à Cintegabelle. 
Tu veux que je te prouve qu'on se connaît? 
Et Robert Glandu prend le téléphone du bar, 
compose le numéro perso de Jospin... 
Et parle avec lui pendant 20 minutes en ayant soin de prouver au gars 
du bar qu'il parlait bien au 1er ministre. 
Le voisin de bar est assez estomaqué, mais pas encore convaincu. 
Alors il demande: 
- Et le pape? Je suis sûr que tu ne connais pas le pape! 
Robert Glandu lui certifie le contraire, 
mais plutôt que des longs discours, il propose d'aller 
directement vérifier au Vatican. 
Les frais d'avion étant pris en charge par celui qui aura perdu le pari. 
Les voilà tous les deux en route pour le Vatican. 
Dès leur arrivée, Robert demande une audience au Pape, 
qui l'accorde tout de suite. 
Le voisin du bar reste sur la place Saint-Pierre car Robert Glandu lui a 
dit qu'il apparaîtrait au balcon en compagnie de Jean Paul II... 
Et effectivement, lorsque le pape apparaît au balcon, 
Robert Glandu est à ses côtés. 
À ce moment là, Robert Glandu, de son balcon papal, 
voit le voisin de bar avec qui il a fait son pari tomber dans les pommes: 
Sans tarder, il court sur la place voir ce qu'il en est et 
une fois au chevet du gars, il lui demande ce qui s'est passé. 
Le voisin de bar lui répond: 
- Que tu me connaisses OK. 
Que tu connaisses bien le barman, OK. 
Que tu sois pote avec Jospin, d'accord. 
Mais qu'au moment où tu apparaisses au côté du pape, 
mon voisin sur la place me demande: 
"Qui c'est le type à côté de Robert Glandu?", là c'était trop! 
 

L'autre jour au bar, un gars en a raconté une bien bonne: 
Il était en train de sortir de sa place de parking d'Auchan, 
quand un peu trop pressé, il fait une belle éraflure sur la portière de 
la voiture d'à côté avec son pare-chocs. 
Voyant qu'un autre gars avait vu ce qui s'était passé, 
le gars descend de sa voiture et dit: "
Je vais lui laisser un mot sur son pare-brise. 
Comme ça il pourra me contacter pour les histoires d'assurance!" 
Et la note qu'il a placé sur le pare-brise c'est: 
"Cher automobiliste 
En sortant de ma place de parking, 
j'ai malencontreusement éraflé votre portière. 
Comme j'ai été vu par quelqu'un, je lui ai dit que je vous laisserai 
un petit mot. 
Certainement qu'il pensait que ce serait pour vous laisser mon nom et 
mon numéro de téléphone. 
Il se trompait. 
Bonne journée" 
 

Deux tribus se livrent bataille depuis de décennies et 
la première tribus se fait toujours massacrer. 
Un explorateur décide d'aider la faible tribus. 
- Bonjour à toi grand chef. 
Je vais t'expliquer comment on gagne lorsqu'on est plus faible. 
Le missionnaire met sa main devant un mur et dit: 
- Frappe 
Le chef interloqué ne sait que faire 
- Frappe je te dis! 
Le chef se décide et assène un violent coup de poing 
sur la main de l'explorateur, qui retire vivement sa main 
laissant le chef hurler de douleur. 
- Ça c'est la ruse, c'est avec ça que vous gagnerez ! 
Le chef, ayant compris la leçon, s'empresse d'aller enseigner 
ce qu'est la ruse à ses guerrier. 
- Écoutez-moi, j'ai le secret pour vaincre 
- Que faut-il faire, Oh grand chef. 
- Il faut utiliser la ruse... 
- Mais qu'est ce que la ruse ? 
Le chef met alors sa main devant et son visage et lui dit 
- Frappe !! 
 

C'est un installateur de moquette qui est en train de finir de placer 
une moquette de 50 mètres carrés dans le séjour d'une grande maison. 
Après plusieurs heures passées à tirer, 
étirer et pousser dans tous les sens, le gars s'assied pour savourer 
une bonne cigarette. 
Mais en portant la main à sa poche de chemise, 
le gars ne trouve pas son paquet de clopes... 
Tout de suite, il regarde sa moquette, et naturellement, 
il voit une bosse en plein centre de la moquette qu'il vient de finir de poser! 
Pas décidé à tout recommencer, 
le gars prend son maillet et méthodiquement, 
s'emploie à aplanir la zone bossue. 
Heureusement, ça marche, et le gars peut quitter 
la maison l'esprit tranquille de celui qui a bien travaillé. 
Le gars monte alors dans sa camionnette pour rentrer chez lui. 
Sur la route, il s'aperçoit que son paquet de cigarette était 
en fait dans la boite à gants. 
Au même moment, son téléphone portable sonne, et 
c'est la maîtresse de maison chez qui il vient de poser la moquette 
qui appelle: 
- Nous ne retrouvons plus le hamster du petit; il a du s'échapper... 
Vous ne l'auriez pas vu dans la maison pendant que vous 
posiez la moquette? 
 

C'est un gars qui rentre chez le marchand de chaussures. 
Il dit au vendeur: 
- Je voudrais une paire de chaussures en cuir, 
mais avec un cuir très très fin. 
Alors le vendeur lui amène une paire de chaussures en cuir de vachette. 
Le gars les essaie et dit: 
- Non, ce n'est pas assez souple. 
Alors le vendeur amène une autre paire de chaussure en disant 
qu'il s'agit de cuir de chevreau. 
Le gars essaie les chaussures et dit: 
- Non, ce n'est pas encore assez souple. 
Finalement le vendeur lui dit: 
- Si vous avez les moyens, 
j'ai dans l'arrière boutique une paire de chaussures en peau humaine. 
Je vous les amène... 
Et le vendeur arrive avec ses chaussures en peau humaine, et 
il les fait essayer au client qui dit après les avoir mis à ses pieds: 
- Waow! C'est tout à fait ce qu'il me faut. 
Extra souples... Combien valent-elles? 
- 50 000 frs 
- Oh la la, c'est beaucoup trop cher pour moi. 
Vous n'avez vraiment rien dans le même cuir pour moins cher? 
- Si, en fait, j'ai le même modèle pour 200 frs, 
mais les chaussures sont noires... 
 


"Une visite fait toujours plaisir. 
Si ce n'est à l'arrivée, c'est au départ" (sagesse populaire bretonne).
 
 
L'honneur, c'est comme les allumettes, ça ne sert qu'une fois. -- Marcel Pagnol
 
 
Le chagrin, c'est comme le ver solitaire. Le tout, c'est de le faire sortir. 
-- Marcel Pagnol 

 
L'héroïsme, c'est comme le souffle au fromage, 
ça ne supporte pas très bien l'attente. -- Marcel Pagnol 

 
Faire du commerce sans publicité, 
c'est comme faire de l'oeil à une femme dans l'obscurité. 
Vous savez ce que vous faites, mais personne d'autre ne le sait. 
-- Britt, Styuart Henderson ( publicitaire américain).
 

Ça se passe à Amsterdam. C'est le congrès annuel des fabricants de bière. 
À la fin du congrès, tous les présidents se retrouvent 
à la taverne du coin et chacun commande. 
Le président de Budweiser: 
"Donnez moi la meilleure bière du monde... une Budweiser!" 
Le président de Heineken: 
"Donnez moi la meilleure bière du monde: une Heineken!" 
Le président de Adelscott : 
"Donnez moi la meilleure bière du monde: une Adelscott!" 
Enfin, le dernier, le président de Guinness: 
"eh bien, puisque personne ne boit de bière, donnez moi un coca!
 
 
Deux skins de Carpentras sortant d'une boite de nuit un peu éméchés, 
décident de repasser par le cimetière histoire de rire un peu. 
Arrivés au beau milieu du cimetière, 
leur attention est attirée par un bruit répétitif, 
comme celui fait par un marteau sur de la pierre. 
Tremblant de peur mais seulement intérieurement (ce sont des skins), 
ils avancent pour savoir ce qui est à l'origine du bruit. 
Et 30 secondes plus tard, ils voient ce vieillard, 
armé d'un marteau et d'un burin, en train de taper sur une pierre tombale. 
Un des skins soupire de soulagement: 
- Ah ben vous alors, vous pouvez vous vanter de nous avoir foutu la trouille. 
Et pourtant, il nous en faut déjà une bonne dose, hein Dédé! 
On vous avait pris pour un fantôme... 
Mais dites hein peu, qu'est-ce que vous faîtes ici à cette heure-ci? 
Et le vieux répond: 
- Ces abrutis! Ils ont fait une faute d'orthographe à mon nom! 
 

C'est trois samouraïs qui veulent mesurer leur adresse au sabre. 
Ils se choisissent un juge qui sera le gage de l'équité de la joute qui 
va se dérouler entre les 3 guerriers. 
Le juge qui s'y connaît en tournoi de samouraïs leur a apporté 
de quoi se mesurer: 
Il ouvre une petite boite dans laquelle il y a une mouche. 
Le katana du samouraï sort de son fourreau en un éclair, 
et la mouche retombe sur le sol, coupée en deux! 
Le juge est satisfait par cette première performance, 
et il félicite le premier samouraï. 
Lorsque le deuxième samouraï est prêt, le juge ouvre une 
nouvelle boite et laisse s'envoler une autre mouche. 
Cette fois-ci, le deuxième samouraï donne deux coup de sabre dans l'air, 
et la mouche retombe, coupée en quatre! 
Cette fois, le juge est vraiment impressionné. 
Et il le dit au deuxième samouraï. 
Mais il reste un troisième concurrent. 
Lorsque celui-ci est prêt, le juge ouvre sa troisième boite contenant 
une troisième mouche... 
Le samouraï sort son sabre et dessine une arabesque dans l'air, 
et range son sabre, mais la mouche continue à voler... 
Le juge dit alors: 
- Mais la mouche vit toujours! 
- C'est vrai, répond le troisième samouraï, 
mais elle ne pourra plus jamais se reproduire. 
 

Quatre cow-boys sont en train de discuter le coup, le soir à la veillée, 
après une bonne journée de convoyage de troupeau. 
Ils comparent les choses qui, d'après eux, sont les plus rapides au monde. 
Le premier cow-boy dit: 
- Je pense que c'est la pensée, car si jamais tu te piques un doigt, 
ou que tu te le brûles, la douleur te parvient immédiatement au cerveau. 
Le deuxième cow-boy dit: 
- Je pense que c'est le clignement des paupières le plus rapide. 
Parce que quand tu lignes des yeux, tu ne t'en rends même pas compte, 
et rien de ce que tu vois n'a le temps de changer. 
Le troisième cow-boy dit: 
- Pour moi, c'est la lumière.
Parce que quand il y a de l'orage et que la foudre tombe 
à plusieurs kilomètres de toi, la lumière t'arrive instantanément, 
alors que le son met plusieurs secondes. 
Enfin, le quatrième cow-boy dit: 
- Eh bien pour moi, le truc le plus rapide au monde, 
c'est la diarrhée mexicaine! 
Les autres, en choeur: 
- La diarrhée mexicaine? Et pourquoi? 
Le quatrième cow-boy répond: 
- Je vous explique: Il y a quelques jours, 
j'avais passé la frontière mexicaine et j'en avais profité pour aller boire 
un coup de téquila locale au saloon, puis, un peu plus tard, 
je m'étais arrêté dans une gargote pour manger. 
Là, j'avais pris du chili con carne qui avait du être réchauffé au moins 
deux fois depuis la veille, et quelques tacos... 
À ce stade du récit, le premier cow-boy demande: 
- Et alors, qu'est-ce que tout ça a à voir avec la vitesse ou la diarrhée? 
Et le quatrième cow-boy reprend: 
- Eh bien, un peu plus tard, alors que j'étais dans mon lit à l'hôtel, 
j'ai senti ce feu et ces horribles coliques dans mon ventre; et
avant que je n'ai pu penser, ou cligner des yeux, 
ou même allumer la lumière... 
 

Il fait très très chaud. 
C'est l'été, et cet homme roule en voiture n'a qu'une seule idée en tête: 
Se rafraîchir. 
Aussi, lorsqu'il voit ce pont au dessus de cette 
rivière à l'eau cristalline, il s'arrête. 
Bien sûr, il n'a pas de maillot de bains, 
mais ce n'est pas un problème car il n'y a personne alentours. 
Le gars patauge quelques minutes, ravi de se refroidir un peu, 
puis il aperçoit deux vieilles dames sur la rive qui regardent 
dans sa direction. 
Le gars, un peu timide, panique et cherche à sortir 
de l'eau en cachant toute sa virilité. 
Aussi, quand il voit le manche d'une poêle à frire qui dépasse 
des graviers de la berge, il s'en saisit et place la poêle devant son sexe. 
Les vieilles s'approchent alors de lui en rigolant. 
Le gars ne sait plus où se mettre et ne cherche qu'à s'enfuir, 
lorsqu'une des vieilles dit: 
- Vous savez jeune homme, j'ai une espèce de don de télépathie. 
Oui, en fait, j'arrive à savoir exactement ce que les gens 
pensent rien qu'en les regardant! 
Le gars qui n'a rien à faire de ce que raconte la vieille 
(et qui n'a qu'une envie, c'est qu'elles dégagent au plus vite) répond: 
- Ah oui. C'est incroyable. 
Et moi par exemple, à quoi est-ce que je pense en ce moment? 
- Eh bien, vous pensez que la poêle que vous êtes en train 
de tenir possède encore son fond... 
 

C'est un ingénieur système qui raconte : 
- J'ai toujours un beeper dans la poche 
pour que si jamais il y avait un pépin, 
on puisse me joindre quelque soit l'endroit où je me trouve. 
Tu comprends, il faut pouvoir réparer très rapidement. 
Ce beeper, je l'ai depuis les années 80; avant c'était carrément un luxe. 
J'allais parfois au cinéma pendant mes heures de garde, et 
ce que je craignais arrivait parfois, mon beeper sonnait. 
Il y avait toujours quelqu'un derrière moi qui disait au moment 
où je me levais: 
"Lui ? un médecin ? ça m'étonnerait." 
[on imagine l'ingénieur système avec un 
look d'ingénieur système normal, nerd à donf, T-shirt, cheveux gras et tout]. 
- Maintenant, quand je vais au ciné et que mon 
beeper fait ce qu'il a à faire, derrière moi, quand je me lève j'entends: 
"Lui ? un dealer ? J'aurais jamais cru". 
 

Deux explorateurs se font attraper par une tribu de sauvage dans la jungle. 
Le chef de la tribu au premier d'entre eux : 
"tu choisis : soit c'est Tchi-Tchi, soit c'est la mort !" 
L'explorateur choisit Tchi-Tchi. 
On l'attache entre deux arbres et là toute la tribu passe 
derrière lui pour, hum comment dire, le sodomiser. 
Ils se prend 100 des plus gros membres d'Afrique, 15 minutes chacun. 
Son anus ne ressemble plus à rien et ses hurlements sont inhumains. 
Mais après ce calvaire, on le laisse partir. 
Le chef de la tribu au deuxième explorateur : 
"tu choisis : soit c'est Tchi-Tchi, soit c'est la mort !" 
Le choix est évident : "je préfère la mort !" 
Le chef : "d'accord... Mais d'abord : TCHI-TCHI !" 

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